Cleq'melt : Groupes pour enfants et adolescents autochtones à l'école et dans la communauté
- At risk youth
- Boys' development
- Education
- Education reform
- Girls' development
- Youth development
- Youth leadership
Natalie
Clark
Interior Indian Friendship Society, School District 73 Aboriginal Programs and Thompson Rivers University
, BC
Oui
Autochtones des Premières Nations, Métis et Inuits .
Groupe communautaire ou groupe jeunesse, Organismes sans but lucratif.
Plus 5 années
Cleq’melt signifie « conseiller », et ce mot implique l'apprentissage quotidien d'activités culturelles pratiques grâce à des rencontres hebdomadaires de groupes de garçons et de filles autochtones dans les écoles.
En expansion (le projet est en place depuis quelque temps, a pris de l'expansion, vous savez qu'il fait une différence et vous voulez passer à l'étape suivante)
Nous savons que vous êtes que nous effectuons un excellent travail en lisant les témoignages que nous recevons des jeunes filles et de leurs parents, et en voyant la réaction de notre communauté. Par exemple, les résultats de l'évaluation de la FCF indiquent que 90 % des jeunes filles interrogées se sentent très bien ou mieux, et que 90 % des jeunes filles pensent avoir amélioré totalement ou partiellement leurs aptitudes de réflexion critique, tandis que 70 % pensent avoir un meilleur sentiment d'appartenance. Nous avons proposé il y a cinq ans l'établissement d’un groupe dans une école et d'un autre groupe dans la communauté. Nous avons aujourd'hui 19 groupes fonctionnant dans 18 écoles, et les gens en réclament d'autres. L'évaluation de ces groupes de jeunes filles dans leur cinquième année d'existence a indiqué une augmentation des relations saines des filles à tous les niveaux, une augmentation du taux de présence à l'école et des réactions saines.
Nous souhaitons élargir les programmes pour les garçons. Nous avons reçu une aide financière seulement pour les filles.
Nous aurons créé des communautés saines, des familles saines, des enfants sains et des adolescents éduqués et fiers de leur culture, qui vivent des relations saines, y compris bispirituelles. En liant les enseignements culturels au cursus scolaire, en proposant des stratégies pour régler les problèmes quotidiens de racisme, en soutenant le développement de valeurs et croyances culturelles fortes, en opposant une résistance saine et en encourageant l'activisme.
Ce voyage a commencé dans un cercle, un petit groupe de champions, en concomitance avec des jeunes et des Sages, qui se sont rencontrés au bon moment et au bon endroit, unis par le désir de réintroduire les traditions et la culture dans les salles de classe de nos étudiants autochtones. Notre groupe est guidé par un Conseil des Sages composé de grands-mères. Nos partenariats comprennent le Kamloops Indian Friendship Centre, dont Christopher Phillips est le directeur exécutif;
la School of Social Work and Human Service de l'Université Thompson Rivers où Natalie Clark est formatrice et animatrice; l'arrondissement scolaire 73, avec Deb Draney au poste de directrice de l'Éducation autochtone; le Conseil en Éducation des Premières Nations, la docteure Renée Spence, qui est coordonnatrice du groupe de jeunes filles, et Susan Dixon, retraitée de l'arrondissement scolaire 73 et coordonnatrice de l'initiative « L'école avant tout ».
Nous aimerions élargir nos groupes et créer des groupes pour les jeunes garçons de l'école primaire et les adolescents du secondaire. Pour y parvenir, nous voulons mettre en place un Conseil des grands-pères et réunir sous un même toit les animateurs autochtones masculins. Nous souhaitons fusionner les groupes de filles et de garçons, avec des Sages dans un camp culturel, et désirons développer notre partenariat avec les bandes locales des Premières Nations.
Nous n'avons pas de financement pour les groupes de garçons, mais nous recevons des fonds de la Fondation canadienne des femmes pour les filles. Des services gratuits sont offerts par les conseillers du Conseil en Éducation des Premières Nations, et nous apprécions le temps que toutes les personnes impliquées dans ce projet nous offrent gracieusement.
Oui (répondre aux deux questions suivantes)