AIDES Guyane : un bus de dépistage rapide
Exemple : Faites nous découvrir comment cette solution fait la différence en utilisant un ou plusieurs exemples concrets ; en incluant aussi ses activités principales.
Impact : Quel est l'impact actuel de ce travail ? Décrivez aussi l'impact désiré dans le futur.
Plan de viabilité financière : Quel est le plan de cette solution qui permet un financement durable à cette initiative ?
Marché : Qui d'autre adresse les problèmes mentionnés ici ? Comment ce projet diffère-t-il de ces approches ?
Histoire de votre fondation
Association AIDES
Céline
Rancoule
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Jusqu’en septembre 2010 pour se faire dépister, il fallait aller dans les centres de dépistage anonymes et gratuits qui n'existent que dans les grandes villes, à des horaires restreints. Ou demander à son médecin une ordonnance, il est parfois étonné, voire réticent. Le problème est que le VIH est une maladie sociale avant d'être une maladie virale, les gens ont peur d'être jugés : beaucoup préfèrent ne pas savoir que de porter cette image-là.
En permettant à chacun d'être testé régulièrement, de connaître son statut et éventuellement de se soigner, on évite de nouvelles contaminations et on casse durablement la dynamique de l'épidémie.
Mais à ce moment là, les tests de dépistage étaient interdits en dehors d’un milieu médicalisé de ces centres et de son médecin. Après un long combat, AIDES a réussi à faire avancer la loi : Autorisé par décret en novembre 2010, le dépistage rapide réalisé par des non médecins est enfin autorisé.
L’idée innovante est d’aller dépister les personnes dans leur environnement au lieu de les faire venir à nous.
Notre force : nos militants sont des bénévoles, des personnes touchées de près ou de loin par le virus, ils ne jugent pas, ils connaissent et font partie des populations les plus vulnérables (gays, migrants, …) et sont donc acceptés très facilement pour aller dépister.
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La réussite de ce projet de dépistage hors les murs repose sur plusieurs facteurs :
> Ce sont les militants de l’association (des bénévoles) qui font les tests (et pas des médecins en blouses blanches)
> Nous avons mis en place tout un process valisé par les autorités de santé publique : Après un entretien autour des sexualités et des moyens de prévention, nos militants formés prélèvent une goutte de sang au bout du doigt. Le résultat est délivré en quelques minutes, en toute confidentialité. Quel que soit ce résultat chaque personne peut bénéficier d’un accompagnement personnalisé. Grâce à ce dispositif simple, mobile et gratuit, nous allons à la rencontre des populations directement sur leurs lieux de vie.
Notre association est une association communautaire : on ne fait pour les personnes touchées par le virus, on fait avec elles. Ce sont nos militants qui sont tous les jours sur le terrain qui décident de nos actions. Ils sont au plus près des réalités de l’épidémie. Donc ils font évoluer nos actions continuellement. C’est comme cela que nous avons compris qu’il nous fallait un bus pour aller voir les populations touchées (et ne pas attendre qu’elles viennent dans nos locaux)
, J77, Pantin
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Nos militants remplissent lors de chaque test un compte-rendu de l’entretien. Tous les compte-rendu sont compilés et nous permettent d’avoir des chiffres et des résultats fiables.
Bien entendu ce modèle de dépistage rapide dans un bus est réplicable dans d’autres zones géographiques et pour d’autres pathologies.
Nous étendons actuellement le dépistage sur tout le territoire français (nous avons déjà un bus en Ile de France / cf la vidéo)
Après un déploiement progressif en 2012, notre offre de dépistage est vouée à s'étendre sur les 3 prochaines années. Objectifs : permettre à davantage de personnes de connaître leur statut, d'améliorer leur niveau de protection et accompagner ceux qui en ont besoin vers une prise en charge de qualité. Un des enjeux pour 2013 sera notamment de réduire la proportion de premiers tests réalisés, et d'amener les personnes à un dépistage plus fréquent, conformément aux recommandations de la Haute Autorité de Santé.
Nos dépenses sont l'achat du bus dans un premier temps puis l'achat des tests de dépistage.
Concernant nos tests de dépistage, ils sont financés par la CNAM (caisse d'assurance maladie française) et par nos partenaires privés.
Mais aujourd'hui, nous avons besoin de financement sur l'achat du bus (62 357 €)
Notre projet ne génère pas de revenus.
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Stratégie simple.
L'association AIDES en Guyane recherche un financement pour l'achat d'un bus de dépistage (62 357 €). Nos actions de dépistage sont financées par des partenaires publics (Caisse d'assurance maladie française entre autres) mais ils ne peuvent pas financer l'achat du bus qui nous permet d'aller au plus près des populations à risque. Notre action repose sur le fait d'aller au plus près de ces populations.
Si nous obtenons le financement de Ashoka Changemakers et Boehringer Ingelheim, cela permettra à l'association de financer l'achat du bus. Par la suite, le fonctionnement, l'entretien et les tests de dépistage seront financés par des partenaires publics (Caisse d'assurance maladie française) et par des partenaires privés.
En place depuis plus de 5 ans